"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Chaque jour, les petits rituels se succèdent pour Bigoudi, retraitée dynamique, et Alphonse, son chien : le café chez Luigi, la balade au parc, le thé-poker chez Beatrix... Mais un jour, Alphonse pousse son dernier soupir.Bigoudi décide de ne plus voir personne. A quoi bon s'attacher aux gens si c'est pour les perdre comme Alphonse ? Mais Bigoudi estelle vraiment destinée à vivre recluse ? Même dans l'immensité archi-moderne et inhumaine de la ville, sobrement mise en image par Sébastien Mourrain, résident de petits îlots d'humanité. Bigoudi s'approprie la ville impersonnelle, incarnant une grand-mère active, moderne et citadine.Delphine Perret pose un regard simple sur le temps qui passe, et aborde avec justesse les thématiques de l'attachement et du deuil.
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