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En septembre 1947, la Semaine d'art réunit en Avignon une exposition de peinture, des concerts et trois créations dramatiques dirigées par Jean Vilar. Sans qu'il le sût un festival était né. Au fil des années, l'expérience est reconduite, avec le soutien de la municipalité et des habitants. La Cour d'honneur du palais des Papes est promue temple du théâtre, la troupe de Vilar devient le TNP, Gérard Philipe triomphe dans Le Cid et Le Prince de Hombourg. Avignon s'impose comme le rendez-vous culturel de tous les étés. Puis le Festival s'ouvre à d'autres metteurs en scène, d'autres arts, d'autres publics. Du cloître des Carmes à la chartreuse de Villeneuve, de nouveaux lieux sont associés à cette effervescence théâtrale. Parallèlement, se crée le Festival «off» qui investit la ville entière. Depuis la mort de Jean Vilar en 1971, ses successeurs ont poursuivi l'aventure et fait d'Avignon l'une des scènes majeures du spectacle vivant en Europe. Historien du spectacle, passionné de théâtre, Antoine de Baecque nous raconte l'épopée du festival d'Avignon, de 1947 à nos jours.
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