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Le village de St Jean-en-Aven est en deuil. Deux corps ont été découverts près du presbytère : ceux de Marcel Grange dit « le lièvre », facteur de son état, et d'Augustin chaudron, l'artiste de la région. Les deux compères se seraient jetés du pont qui surplombe le village. Une chute de 468 mètres. Ce pont, construit en 1947, a la triste renommé d'attirer les candidats au suicide. Au fil des années, le village est même devenu une attraction macabre. Cependant, jamais depuis le début des « grands plongeons », un villageois n'avait franchi le pas. Le choc est donc immense. La gendarmerie, lasse, s'est déchargée de cette énième enquête de suicide en passant le relais à la PJ de Paris. Un inspecteur va être dépêché sur les lieux. Mais la veille de son départ, ce dernier est blessé par balle lors d'une interpellation musclée. C'est donc son co-équipier qui le remplace au pied levé. Léo Walec, jeune policier de 25 ans, arrive donc par une chaude après midi d'été, dans la vallée encaissée, sans savoir grand chose de l'affaire
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