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En avril 1943, Maria Valtorta - alors âgée de 46 ans et alitée depuis 9 ans - termine en deux mois et demi le récit de sa vie, à la demande de son confesseur. C'est par une supplique étonnamment ouverte sur le monde qu'elle clôt le récit de sa vie, somme toute, humainement banale. Dans ce récit, je me suis présentée telle que je suis ; on y trouve ma chair avec ses passions humaines, mon âme avec ses espérances spirituelles, mon esprit avec son amour d'adoration. [...] Oh ! Seigneur, par mon sacrifice caché de chaque instant, donne-moi des foules d'âmes à t'offrir. Fais-les avancer et moi aussi dans la lumière, dans ta lumière, et, lorsque pour nous le temps sera accompli, ouvre-nous, ô Dieu, les portes de ton royaume et les portes de ton cÅ«ur en sorte que pour l'éternité on se délecte de toi, tout puissant, éternel, et Dieu trine. (Autobiographie, p 536) Tu ne seras pas sainte pour avoir écrit l'Å«uvre, mais en raison de ton sacrifice, pour toute ta vie d'amour et de sacrifice (dit Jésus à Maria Valtorta, Les Carnets, 16 décembre 1950).
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