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Le coeur d'un peuple (versant spirituel) n'est pas le peuple (versant physique), celui qui manifeste ou fait grève. Son coeur spirituel possède une compétence morale et une sagesse lui permettant de se gouverner. Pour approcher ce mystère, l'auteur commence par revisiter l'état de nature depuis qu'Homo sapiens enterre ses morts avec respect et amour. Puis il expose que la nature humaine est double et que son côté spirituel, malheureusement abandonné depuis Descartes, n'avait rien à voir avec le religieux. Ses recherches ont révélé que nous naissions tous à la fois altruistes et égoïstes, démocrates et tyrans, et qu'il n'y a pas de destin prédéterminé : il dépend de notre libre arbitre. La seule vocation de l'humanité est d'« apprendre à nous aimer les uns les autres ». Puis, à partir de la notion d'« objet spirituel », Jean-Charles Conti redéfinit le pouvoir, la politique, mais aussi la fraternité, l'égalité, la liberté et plus généralement les « valeurs universelles ». Enfin, plus concrètement, l'auteur propose « trois piliers altruistes » pour une démocratie directe juste et équitable, une « économie spirituelle » et un « capitalisme coopératif » autour d'une « croissance spirituelle dans une décroissance matérielle » et, ceci, avec l'« argent magique ».
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