L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Au 50 de la rue Caton raconte la nostalgie d'une enfance et d'une adolescence tunisoises. La grande maison villa où vit toute la famille - parents et grands parents, oncles et tantes, frère et cousins - en est un personnage incontournable, avec son jardin extraordinaire où les enfants font figure de pionniers du vélo-cross et de tourmenteurs des chats du voisinage. A sa tête, le patriarche, le grand-père Louis, Italien, pâtissier célèbre à Tunis, flanqué d'Aspasie, la grand-mère grecque. D'où ce plurilinguisme - on y parle quatre langues indifféremment : le français, le grec, l'italien et l'arabe - dans une maison où la notion de racisme est inconnue, reflet du melting-pot culturel, religieux, avec ses traditions et rites haut en couleur, qui définissent si bien le cosmopolitisme du Tunis des années cinquante et soixante.
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