L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
A Madagascar, Tana brûle. L'île chancelle. Le coup d'Etat a eu lieu il y a trois ans, déjà. Trois ans, c'est jeune, à l'échelle d'un pays. Pour le narrateur, le voyage était prévu de longue date ; il ne connaît rien, ici, débarqué de sa Suisse natale, mais il pourrait aider. Il sent bien, arrivé à l'aéroport, accueilli par celle qui sera sa chef, Mme Andrissa, qu'il n'est peut-être pas tout à fait à sa place.
Mais il y a tant à faire, il pourrait aider. Atlas nègre est le premier roman de Bruno Pellegrino, lauréat du prix du Jeune Ecrivain 2011. Sur le mode du road-trip, Bruno Pellegrino flirte avec le roman d'aventure, le récit autobiographique, le carnet de voyage et le conte initiatique. D'Antananarivo à Tokyo, des rives glacées du Lac Baïkal en passant par les contrées sauvages bordant le fleuve Amour, la poursuite effrénée du voyage jusqu'aux bords du bout du monde participe de la reconstruction intérieure d'une jeunesse brisée, pour pardonner les erreurs et retrouver, en définitive, l'âme aimée.
Accompagnant le texte, les illustrations brutes et dynamiques de l'artiste Yoann Kim tissent une toile fantomatique qui enveloppent les paysages et les différentes étapes du narrateur d'une brume mystérieuse, transformant le voyage en une rêverie tantôt magique, tantôt inquiétante.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique