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Quatrième de couverture - Arrête, Margaret ! D'Adeline Russier - Margaret est une jeune femme comme beaucoup d'autres. Et, comme tout le monde, elle râle. La météo, ses deux enfants, son travail, son mari, les malheurs du monde, sa vie. Tout y passe.
Mais à force de jérémiades, elle a attiré sur elle une terrible malédiction. Elle est vouée à un avenir plein d'aigreur et de solitude.
Sa seule chance de se libérer du mauvais sort : cesser complètement de se plaindre pendant vingt-huit jours consécutifs. Et elle n'a que trois mois pour réussir !
Margaret arrivera-t-elle à remplacer ses paroles noires par des mots arc-en-ciel ? Quand elle accepte de relever le défi, la jeune femme ne se doute pas à quel point cette expérience va changer sa vie, et peut-être même changer le monde.
Adeline est née en 1977 dans la région stéphanoise. Après ses études de Lettres, elle a enseigné en école primaire pendant douze ans, puis elle s'est consacrée à l'éducation de ses enfants avant de devenir assistante maternelle. Riche de son expérience de la « vraie vie », elle connaît le quotidien d'une femme d'aujourd'hui et ses enjeux.
À travers des récits divertissants et agréables à lire, à la fois drôles et émouvants, elle amène le lecteur à se questionner sur lui-même. La lecture est à la fois une agréable parenthèse dans le quotidien et une invitation à se replonger dans sa vie avec plus d'optimisme, d'énergie et de joie.
Margaret, la trentaine, a tout pour être heureuse : un mari, deux enfants, un travail et pourtant, elle passe son temps à pester à tort et à travers. Une nuit de mauvais rêves, une vieille tante défunte lui apparaît pour la mettre en garde. Si elle ne veut pas finir comme elle, seule et un peu aigrie, elle doit relever le défi de changer sa manière d'aborder le quotidien...
On passe un bon moment en compagnie de Margaret, une femme imparfaite, et qui nous ressemble. C'est une aventure pétillante et fantastique que nous vivons à ses côtés.
Très vite, elle exprime un malaise, une dépendance, une insatisfaction qui la rend malheureuse et l'enferme en elle-même. Elle entame alors un travail pour sortir de ce sentiment d'épuisement psychologique qui l'empêche d'avancer. On suit son cheminement, étape par étape, au cours duquel sa perception est modifiée pour convertir son mauvais esprit en bonne volonté.
L'écriture est fluide, agréable. Les scènes sont hyper réalistes et parlent d'elles-mêmes.
On aime le caractère naturel, passionné de Margaret. Elle nous fait sourire, réfléchir, éprouver des émotions. On est rivé à ses efforts, ses progrès nous font plaisir. Petit à petit, son attitude nous attire et nous donne envie d'y croire et d'explorer. Son énergie est communicative, son expérience attentive, dynamique et parfois survoltée.
Une réflexion constructive et bienveillante pour être acteur de sa vie, et voir les choses un peu différemment...
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