"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Avec ses peuples inconnus aux civilisations aussi élaborées que celle des conquérants, avec sa faune et sa flore étonnantes, le Nouveau Monde exerce, à la Renaissance, un attrait irrésistible. Ces hommes intrépides, ces aventuriers, s'ils ne songeaient qu'à faire fortune et à imposer la loi européenne, n'en étaient pas moins souvent des hommes cultivés, pétris de l'imaginaire des Anciens : non seulement croyants, mais croyants en l'extraordinaire.
Auteurs de l'ouvrage, les historiens Jorge Magasich Airola et Jean-Marc de Beer ont été fascinés autant par les hommes qui ont vécu l'épopée de la découverte que par l'épopée elle-même, comme création mythologique. Car le Nouveau Monde, c'est à la fois le miroir des mythes anciens et le laboratoire de leur transformation.
De Gog et Magog à l'Eldorado, des amazones aux géants patagons, autant d'êtres merveilleux qui incarnent tour à tour la fascination du surnaturel et le rejet du "sous-humain". Ne cherchera-t-on pas en Amérique, à la fois le jardin d'Éden et les tribus maudites ?
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