L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
En 1950, un jeune homme embarque pour Alger, seul, sac au dos, sans autre idée en tête que de s'initier à la grandeur du monde.
Son but ? rallier Douala, en traversant avec les moyens du bord le désert, les confins du Maghreb et de l'Afrique noire, l'artère impériale du Niger... Les rencontres sont rares mais souvent cocasses, ainsi Frison-Roche, comme égaré à Alger où il est censé étudier la viabilité d'un aménagement en pistes skiables des dunes du Sahara. L'Afrique que traversé Philippe Joudiou, immémoriale, indifférente, n'exhibe que peu de traces de la présente française.
Comme si la colonisation, alors ancienne déjà, n'avait déposé qu'un voile superficiel sur ces étendues que tiennent entre leurs mains des hommes bleus, des pasteurs peul ou de rudes montagnardes qui vont nues au marché. Cette relation de voyage, sobrement descriptive, parfois candide et, pour ces raisons, parfaitement crédible, s'enrichit de clichés sidérants et de croquis aquarellés que l'auteur a brossés au petit matin, avant de reprendre son chemin.
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