A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Apparu en 1984, Åke Ordür (« Åke Jävel » en suédois) est le héros le plus populaire de Lars Sjunnesson. Adopté par la scène punk, il va devenir motif de tatouages et de tee-shirts. Son cri de guerre "Aux chiottes la bourgeoisie et toute l'ordurière société !" va passer des pages du magazine suédois Galago aux festivals de rock.Inspiré par un personnage de l'Opéra de quat 'sous, Åke Ordür est dessiné en noir et blanc de façon très iconique : le logotype d'une société délétère. Vêtu d'un costume noir stylé, il montre les dents, un immuable sourire retenant une inextinguible cigarette. Il s'exprime laconiquement, souvent par interjection. Åke Ordür est la quintessence de l'anarchiste énigmatique qui défie violemment les autorités et les conventions en vigueur. Il boit, fume, jure, seul ou avec sa petite amie, Anna Dëbris (Anna Fan). Il fait exploser des bâtiments, poursuit des policiers, dénonce par l'absurde les oppressions sociales et les dérives insensées du consumérisme. Rebelle sans idéologie, pour des raisons purement égoïstes, le lecteur doit se questionner pour comprendre ses pensées et ses motivations. Mais surtout la permanente posture prosaïque d'Åke Ordür est drôle. Les situations sont totalement grotesques. Les autres personnages n'ont guère plus de moralité.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...