L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Pendant plus de quarante années, le métier de mineur fut au centre de la vie de Jacques Bonnet. Les contraintes de la vie d'une fosse qui employait jour et nuit et tout au long de l'année plus de 4000 mineurs ne lui permettaient pas de s'extraire de ce monde à part. Le besoin d'évasion se faisant de plus en plus pressant à mesure que le temps passait, il put, tout en restant dans le cadre de son métier, s'intéresser aux mines des pays lointains, puis aux personnes et à leurs cultures. Sans rechercher l'exotisme ni le sensationnel, il témoigne avec «Adieu Foulard, Béguin et Barrette» sur ses expériences vécues pendant la découverte de ces pays et de leurs populations. De la Nouvelle-Galle du Sud (en Australie) à la Chine, en passant par l'Inde, l'Algérie, le Yemen, la Russie... Jacques Bonnet rend compte avec douceur et humanité des choses vues et entendues et apporte un témoignage précieux quant à la compréhension de ces régions pour lesquelles les fausses idées sont nombreuses et injustes. L'auteur fait ainsi rêver le lecteur en lui faisant vivre ses aventures dans de brefs et parfois intenses chapitres. Se rapportant à des époques déjà lointaines, «Adieu Foulard, Béguin et Barrette» est aussi une analyse sociologique qui permet d'apprécier le chemin parcouru par l'auteur dans plusieurs pays et sa rencontre avec les différents régimes.
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