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Stephen Carter

Stephen Carter
En 1985, Stephen Carter est le premier professeur noir titulaire d'une chaire de la célèbre université de Yale. Près de vingt ans plus tard (soit le temps qu'il a mis à l'écrire), le prestigieux éditeur Knopf lui offre à l'occasion son premier roman, Échec et mat, un contrat mirobolant pour un ro... Voir plus
En 1985, Stephen Carter est le premier professeur noir titulaire d'une chaire de la célèbre université de Yale. Près de vingt ans plus tard (soit le temps qu'il a mis à l'écrire), le prestigieux éditeur Knopf lui offre à l'occasion son premier roman, Échec et mat, un contrat mirobolant pour un romancier néophyte. Bien lui en prend : immense succès aux États-Unis, vendu à Hollywood et traduit dans plus de dix-sept pays, le livre est un best-seller international. Succès réédité en 2006 avec la publication de La Dame noire, son deuxième roman. Ce juriste reconnu, ancien conseiller du président Clinton, a également signé de nombreux essais sociopolitiques qui ont fait grand bruit outre-Atlantique, dans les milieux intellectuels comme dans le grand public. Mais il a décidément pris goût à la fiction puisqu'il est en train de terminer son troisième roman...

Avis sur cet auteur (3)

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    Couverture du livre « Un roman américain » de Stephen Carter aux éditions Robert Laffont

    Sophie Moisy sur Un roman américain de Stephen Carter

    Je rejoins l'autre avis de ce livre. Quel dommage d'écrire de si longues pages pour finalement laisser le lecteur sur sa faim..
    En revanche, pour apprécier la grosse pomme, j'ai particulièrement apprécié la description de l'auteur d'une autre époque, époque de l'émergence, de la fin de la...
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    Je rejoins l'autre avis de ce livre. Quel dommage d'écrire de si longues pages pour finalement laisser le lecteur sur sa faim..
    En revanche, pour apprécier la grosse pomme, j'ai particulièrement apprécié la description de l'auteur d'une autre époque, époque de l'émergence, de la fin de la ségrégation. Le New-York des arts, de la politique, de la culture mais aussi de la pauvreté, des communautés.
    Le protagoniste principal reste fade tout au long de l'ouvrage, il semble jouer un rôle et non vivre sa vie.
    Difficile de conseiller cet ouvrage

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    Couverture du livre « Un roman américain » de Stephen Carter aux éditions Robert Laffont

    Sophie Moisy sur Un roman américain de Stephen Carter

    Je rejoins l'autre avis de ce livre. Quel dommage d'écrire de si longues pages pour finalement laisser le lecteur sur sa faim..
    En revanche, pour apprécier la grosse pomme, j'ai particulièrement apprécié la description de l'auteur d'une autre époque, époque de l'émergence, de la fin de la...
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    Je rejoins l'autre avis de ce livre. Quel dommage d'écrire de si longues pages pour finalement laisser le lecteur sur sa faim..
    En revanche, pour apprécier la grosse pomme, j'ai particulièrement apprécié la description de l'auteur d'une autre époque, époque de l'émergence, de la fin de la ségrégation. Le New-York des arts, de la politique, de la culture mais aussi de la pauvreté, des communautés.
    Le protagoniste principal reste fade tout au long de l'ouvrage, il semble jouer un rôle et non vivre sa vie.
    Difficile de conseiller cet ouvrage

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    Couverture du livre « Un roman américain » de Stephen Carter aux éditions Robert Laffont

    lise lise sur Un roman américain de Stephen Carter

    Bilan plus que mitigé pour ce roman américain dans lequel j’ai eu beaucoup de mal à entrer. La mise en place s’avère longue et un peu pénible pour le lecteur qui attend désespérément que quelque chose arrive (faut-il rappeler que le livre compte presque 600 pages). On ne ressent pas suffisamment...
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    Bilan plus que mitigé pour ce roman américain dans lequel j’ai eu beaucoup de mal à entrer. La mise en place s’avère longue et un peu pénible pour le lecteur qui attend désespérément que quelque chose arrive (faut-il rappeler que le livre compte presque 600 pages). On ne ressent pas suffisamment d’empathie à l’égard du personnage principal, Eddie, témoin trop lisse de son temps, pour passer outre l’ennui des premières (centaines de) pages. Après ce démarrage difficile, le récit parvient à décoller un peu grâce notamment aux références multiples à l’Histoire contemporaine des Etats-Unis et grâce à la mise en scène de certains de ses principaux acteurs. Toutefois, la chute s’est également avérée décevante de mon point de vue ; alors que les événements s’accélèrent dans les cent dernières pages et que le lecteur s’attend à recevoir enfin les réponses pour lesquelles il persévère dans sa lecture, l’auteur les lui refuse par un tour de passe-passe et Junie reste un mystère à jamais.

    Le point positif, non négligeable, qui peut justifier la lecture de ce roman est la mise en lumière d’une facette méconnue de l’Amérique, celle de l’émergence, dès l’après-guerre, c’est-à-dire en contexte encore ségrégationniste, d’une société noire riche et influente, dont le soutien constitue rien de moins que l’un des enjeux politiques majeurs des présidentielles des années soixante/soixante-dix. A l’exception de la curiosité que peut constituer la haute société noire du Harlem d’après-guerre, je ne vois guère de bonne raison de recommander ce livre.