"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ce beau roman, qui dérange et interroge, c'est la puissance des sentiments, la peur, la peur de la peur et la culpabilité. En 1976, Leopoldo Brizuela a été témoin, comme son personnage, de ce qu’on appelait une opération «râteau», menée par les militaires et leurs agents, et il se souvient. Il cite Borges et Marcela Sola, il a lu le Journal d’Anne Frank alors qu’il avait 13 ans, il est pianiste, Chopin et Bach. Il se concentre sur les zones d’ombre de la relation père-fils mais également sur les méandres de l’âme humaine. Faut-il se souvenir et chercher à comprendre pourquoi l’Homme est cruel envers ses semblables ? Faut-il du courage pour dénoncer les mauvais afin de protéger les innocents ? Quel sens donner à la haine, à ce besoin de faire du mal pour imposer ses idées ?
Tristement d'actualité !
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