Ce roman est une des étonnantes surprises de la rentrée littéraire de septembre
Ce roman est une des étonnantes surprises de la rentrée littéraire de septembre
Des mots-maux face à la perte d'un enfant
Un premier roman très surprenant car on découvre que le nom inscrit sur la couverture est celui d'un collectif de plusieurs écrivains. Cela pourrait paraître un exercice de style, une sorte de jeu. Quand j'ai ouvert ce livre, j'ai vite oublié cela et je me suis laissé emporter par une belle écriture et par le portrait de cette jeune femme qui vient de perdre sa fille à l'âge de quatre ans. Un sujet dramatique mais que ce texte nous permet d'appréhender de façon paradoxalement douce : on est en pleine empathie avec cette femme. Une écriture fluide, poétique nous permet d'appréhender les sentiments face à ce drame. Les mots décrivent parfaitement les maux, malgré un drame si terrible, la vie quotidienne doit continuer, que l'on reste dans son appartement, dans le quotidien de la cuisine ou quand on essaie d'aller « tranquillement » faire des courses ou que l'on va se ressourcer dans la nature ou en voyage, pourquoi pas essayer de se reconstruire à Venise, même s'il neige et qu'il fait gris. le fantôme de la petite fille plane dans les pages et restera sûrement en ma mémoire ainsi que celui de cette mère. Merci infiniment de m'avoir fait lire ce livre et je vais me renseigner sur ce collectif d'auteurs. A nouveau, un coup de cœur de cette magnifique sélection des 68premières fois.
Alors là ! BRAVO aux 18 talentueux auteurs du collectif l’Ajar pour cette petite pépite qui, en 119 magnifiques pages, exprime l’innommable douleur qu’est la perte d’un enfant.
Un récit très puissant, une écriture sobre toute en délicatesse, un très très GROS coup de coeur !
Le roman aurait dû m'être envoyé en janvier mais je l'ai reçu il y a quelques jours et je remercie Dominique Sudre d'avoir fait le nécessaire.
J'ai été happée par l'histoire et même si le thème ne m'inspirait pas trop : C'est toujours douloureux d'écrire sur la mort d'un proche mais 17 écrivains n'en ont fait qu'un, bravo a eux. J'ai apprécié les faits et différentes idées et sentiments, ce roman devrait se lire plutôt comme un cahier, des souvenirs lies et pieces d'un puzzle tragique maniant ironie et réflexions savamment imbriqués. Quel talent, je serai intéressée de connaître prochaine oeuvre de l'ajar.
Encore bravo et merci pour cette pépite littéraire.
Connaissez-vous L'AJAR ? En clin d'oeil à Romain Gary, ce collectif de 18 jeunes auteurs Suisses explore la création littéraire ! L'écriture n'est pas forcément une pratique solitaire selon eux.
C'est donc un roman à plusieurs mains, une évocation fulgurante du deuil. Un archiviste retrouve parmis des factures, les pages noircies d'un journal intime. Le journal d'une femme évoquant son chagrin, celui d'une mère meurtrie par le décès de sa fille et la difficulté de vivre l'après... Un exercice émouvant, tendre et étonnement réussi !
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