"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Malheureusement, je ne peux pas dire que ce livre m'ait réellement emballée. Certes, le résumé est tentant, et le contenu fidèle , mais la lecture du livre n'apporte pas grand chose de plus. Au final , j'ai eu plus l'impression de lire une nouvelle musclée qu'un véritable roman, et c'est dommage car le développement de l'aspect ésotérique ou mythologique aurait pu être fort intéressant.
Par exemple , Pandémonium cité, le titre, fait référence à Pandémonium qui désigne la capitale imaginaire des enfers où Satan invoque le conseil des démons (terme utilisé la première fois en 1663 par George Milton dans le Paradis Perdu).La sybille fait référence à la "Sybille de Cumes" (Virgile décrit la descente d'Énée aux Enfers accompagné de la sibylle de Cumes ; elle lui avait montré où cueillir le rameau d'or, dans les bois sur les bords du lac d'Averne, rameau qui devait lui permettre de pénétrer dans le royaume d'Hadès. (Wikipédia))
L'action est omniprésente, peut être trop, ce qui empêche une véritable intrique de s'installer et le tout reste superficiel.
Ceci dit ,il ne faut pas oublier que ce livre est un premier roman et David Bergeron fait montre ici d'une belle imagination et d'un style moderne et enlevé, laissant présager de belles suites.
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !