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Arvers Felix

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Avis sur cet auteur (1)

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    Couverture du livre « Mes heures perdues : poesies » de Arvers Felix aux éditions Hachette Bnf

    Thierry Cabot sur Mes heures perdues : poesies de Arvers Felix

    Selon des statistiques plutôt dignes de foi, cinq cent mille de nos compatriotes environ s'adonneraient aujourd'hui à l'écriture poétique. Ce nombre d'ailleurs semble pour le moins sous-estimé si l'on tient compte des engouements passagers pour cette pratique littéraire, constatés chez beaucoup...
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    Selon des statistiques plutôt dignes de foi, cinq cent mille de nos compatriotes environ s'adonneraient aujourd'hui à l'écriture poétique. Ce nombre d'ailleurs semble pour le moins sous-estimé si l'on tient compte des engouements passagers pour cette pratique littéraire, constatés chez beaucoup d'adolescents.
    Quand on remonte le temps, on peut donc dire, sans risque de se tromper, que des milliards de poèmes, au bas mot, ont été composés en langue française.
    Or, parmi tant de candidats à la célébrité, surnagent tout au plus dans « l'océan des âges » quarante ou cinquante auteurs, portés par des vents favorables. En résumé, une broutille...
    Quelques-uns, encore moins nombreux, occupent le devant de la scène, et il s'agit là d'un phénomène non plus « rare » mais « rarissime ».

    Un poète du dix-neuvième siècle, ami d'Alfred de Musset, se signala, lui, par un seul texte. extrait du recueil de poésie intitulé « Mes heures perdues », un simple sonnet – qui, rançon de la gloire, fut pastiché maintes fois au fil des années – un sonnet d'amoureux transi, dans lequel il s'éleva soudain au-dessus de lui-même.

    « Mon âme a son secret, ma vie a son mystère... »

    Fait étrange, aucune de ses œuvres poétiques n'avait jusque-là suscité d'intérêt.
    Félix Arvers, au talent pourtant assez mince, saurait tout à coup en quatorze vers renverser la situation au point de se dépasser, de se transcender, jusqu'à boire la lumière.
    Voilà que des sentiments si purs, si forts, jamais payés de retour, allaient lui valoir, contre toute attente, les suffrages de la postérité. Oui, l'amour, exclusivement lui, tout à la fois impérieux et sublimé, le hisserait bientôt au rang des meilleurs poètes, une fois, une unique fois !
    Un amour ignoré de celle qui l'avait inspiré :

    « Hélas ! j'aurai passé près d'elle inaperçu.. »

    Un amour sans perspective, marqué du sceau de la souffrance.

    Et c'est bien un moment inoubliable, une heure bénie entre toutes que la naissance de cette merveille, déposée aux pieds d'une femme dont nous ignorons toujours l'identité.

    https://www.accents-poetiques-editions.com/produit/la-blessure-des-mots/

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