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Musique libératrice, le blues l'est à plus d'un titre. Dans le plus grand dénuement, les Noirs ont créé une musique qui, à partir de cas particuliers, tend à l'universel. Bien après l'abolition de l'esclavage, les pénitenciers ont longtemps fait perdurer les formes d'aliénation qui ont prédisposé à la naissance du blues. Ainsi, ce monde où la soumission et l'enfermement vont de pair pouvait-il receler des talents cachés, tenus à l'écart des circuits commerciaux et donc frappés du sceau de l'authenticité. Comme pour attester la valeur d'affranchissement du blues, certains détenus ont accédé à la liberté et percé au grand jour grâce à leurs capacités de bluesmen. Ils ont obtenu une libération, bien physique celle-ci, qu'ils doivent à leur art. Cette fonction libératrice du blues est notamment illustrée par la trajectoire de Robert Pete Williams.
27 linogravures de Paul Smark sur un texte de Nick Ozapi suivi de Angola Prisoner's Blues par Jean-Luc Tudou.
Narration Philippe Massa sur un texte de Nick Ozapi.
Musique Mojo Bruno Metregiste et Robert Pete Williams interprétée par Mojo Bruno Metregiste.
Ouvrage publié avec le concours de la région Bourgogne-Franche-Comté et du Centre National du Livre.
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