L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
La production de passivité qu'est la « phénoménologie » ne s'élucide pas d'elle-même. Elle ne réfléchit ni le statut, ni la provenance de la passivisation à laquelle elle oeuvre. D'où provient ce désir de passivité ? À qui est-il indispensable d'identifier la réalité à la passivité ? Qui exige cette assimilation, quels effets en attend-il ? Qui veut l'être comme impuissance ?
L'idéalisme radical, se libérant de cette servitude, reconnaît la force du désir de passivité qui opère en nous. Contre « l'évidence » en laquelle celui-ci se présuppose à l'origine de toute pensée, nous n'accèderons à sa vérité qu'en défaisant son initiale domination. Comment donc parvenir à ne plus aimer la passivité ? Comment la pensée parvient-elle à ne plus s'identifier à cette absurde opération de passivisation ? Comment se libérer enfin de l'amour de l'impuissance ? Telle est l'interrogation de ce livre.
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