Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
La mort qui, naguère, faisait partie de la vie, a été pendant quelques décennies occultée. Jusqu'à faire l'objet d'un véritable rejet social. Mais les attitudes sont en train de changer. " Le sens de l'humaine fragilité réhabite nos consciences ", écrit Jean-Paul Guetny dans sa préface. " Et nous nous retrouvons, tout à coup comme en harmonie avec les grandes traditions de sagesse - philosophiques ou religieuses - qui ont attribué à la mort une place de choix dans leur réflexion et leurs rites. " " Le discours sur la mort et sur l'au-delà est redevenu possible. Encore a-t-il besoin d'instruments pour se nourrir. Jusque là, à ma connaissance, il n'existait guère d'ouvrages en langue française qui prennent en considération le "mourir" dans toute son extension : depuis l'annonce de l'issue fatale jusqu'aux scénarios de l'après-vie. Le livre de Djénane Kareh Tager comble un vide. D'autant qu'il ne se contente pas d'une approche monocultuelle ou monoconfessionnelle. Habituée à voyager à travers les différentes traditions religieuses, l'auteur ouvre leurs richesses à ses lecteurs. Et elle le fait avec le sens du concret, du pittoresque, le souci de la vulgarisation qui la caractérisent. Et en citant de nombreux textes sacrés."
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