L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Combien d'entre nous connaissent Raoul Villain (1885-1936) ? Une personne sur cent, sur mille ? Et quand bien même il y en aurait moins, ce ne serait pas grave. Illustre méconnu, peut-être doit-il le rester, tant son manque de charisme, de personnalité, et plus encore son incapacité à affronter la réalité le rendent inintéressant. Oui, mais voilà, il a tué Jaurès ! Faut-il pour autant s'attarder sur ce figurant de l'Histoire, cet assassin, rouvrir le dossier qui l'accable ? "Citoyens, je veux vous dire ce soir que jamais nous n'avons été, que jamais depuis quarante ans l'Europe n'a été dans une situation plus menaçante et plus tragique que celle où nous sommes à l'heure où j'ai la responsabilité de vous adresser la parole" Lors de son dernier discours, le 25 juillet 1914, 6 jours avant son assassinat, Jean Jaurès exprime son angoisse devant la guerre qui s'avance inéluctablement. Il est le dernier rempart contre elle, contre le désastre et la folie des hommes, folie qui réduira Reims à l'état de cendres, Reims, joyau de la chrétienté et ville natale de Raoul Villain.
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