L'homme se sentirait trop seul, s'il n'y avait pas les poches.
Silvio d'Arzo. Daniel Blanchard vide ses poches desquelles il extrait aphorismes et réflexions dans une langue prosodique où l'on entend la voix du monde. Recette de paranoïa : ayez une pensée ; agitez-la dans un cerveau légèrement échauffé ; ajoutez-y foi. Levez les yeux :
Elle doit apparaître en lettres de feu sur le fond du ciel. Laissez refroidir.
Servez with a stiff upper lip..
L'art de Ponge est de laisser s'échapper la chose en feignant de l'attraper. Elle en éclate de rire et c'est de l'éclat de son rire qu'il l'éclaire, rattrapée au tournant.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !
