"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La bataille de Verdun débute le 21 février 1916, elle durera 300 jours et 300 nuits. Pas un jour, pas une nuit sans combats ou sans bombardements, chaque journée est un supplice pour les combattants figés sur un front statique.Ces combattants, soldats français et allemands, vivent les mêmes privations, les mêmes souffrances, les mêmes horreurs, les mêmes peurs et les mêmes haines.Sur la colline sans nom, identifiée par son altitude, la journée du 18 mai 1916 ne compte ni parmi les plus calmes ni parmi les plus agitées. Elle est marquée par des bombardements incessants et des assauts d'infanterie dans le cadre « d'opérations de détail ».Par cet écrit, l'auteur souhaite présenter un récit croisé des belligérants qui permet d'appréhender ces supplices communs et l'inanité des combats sur cette cote 304, 24 heures durant. Le sacrifice de ces hommes ne peut rester vain et tous les soldats tués, allemands et français, méritent indistinctement un travail de mémoire.
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