"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Par une belle après-midi d'été, Attila arrive en Beauce et s'aperçoit qu'il vient enfin de conquérir le monde. Se pose alors la question fondamentale de tout dictateur, quel challenge reste-il à relever une fois que l'on a fini d'égorger, piller et violer toutes les populations de notre terre ? La dépression guette vite le Hun à qui il ne reste plus qu'à se tourner vers Dieu. Cette nouvelle aventure rocambolesque confirme l'immense talent de Manu Larcenet qui cède ses pinceaux au brillant Daniel Casanave pour un livre absolument formidable et totalement indispensable.
lien vers ma chronique: http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/attila-le-hun-de-manu-larcenet-et-daniel-casanave/
Le mot de la fin : Les dessins qui semblent a priori ressembler fortement à Larcenet ne fonctionnent pas aussi bien que si c’était vraiment lui qui dessinait. Le scénario est rempli d’humour et touche à la philosophie ce qui donne une œuvre intéressante, bien que par moment piquée par une certaine lourdeur. La fin par contre est frustrante et paraît inachevée…
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