"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Habiter trois villes différentes ? Posséder trois identités reconnues ? Aimer trois femmes intensément ?
Avoir trois vies par semaine.
Pour tirer les fils de ce nouveau suspense qui mêle les thèmes de l'exil, la vengeance, la multiplicité d'une vie... l'unique Michel Bussi.
Un mort.
Deux disparus.
Trois femmes amoureuses.
Un corps est retrouvé dans la vallée de la Meuse, au coeur des Ardennes. Accident, suicide, meurtre ?
La révélation de l'identité de la victime plonge la capitaine Katel Marelle dans la sidération.
Renaud Duval menait-il... trois vies par semaine ?
Trois femmes attendent son retour. Chacune revendique d'être son unique amour.
Ensemble, elles vont tenter de percer l'énigme d'une impossible triple vie...
Mais comme dans un théâtre d'illusions, des ombres rôdent, prêtes à se venger.
Qui sait la vérité ? Qui manipule ? Qui tire les ficelles ?
Méfiez-vous des fils invisibles...
Une intrigue vertigineuse pour un grand suspense de Michel Bussi.
Un mort.
Deux disparus.
Trois femmes amoureuses.
Embarquée dans ce récit dès les premières pages j'ai adoré et comme d'habitude un switch à la fin .
Et puis le cadre du festival bien connu de Charleville Mézières est propice au mystère .
Captivant et envoûtant, voici assurément une lecture qu'il sera difficile d'oublier.
D'abord, grâce à son intrigue: imaginez un cadavre dont on découvre qu'il a trois (vraies) identités et autant de femmes éplorées. Un vrai casse-tête pour la capitaine Katel Marelle en charge du dossier.
Par ses personnages, ensuite, aussi hauts en couleurs qu'attachants malgré la complexité de liée à l'intrigue et les liens qui les relient les uns aux autres.
Enfin, par la tension maintenue de la première à la dernière page, sans aucun temps mort ni lassitude.
Bref, un excellent thriller à consommer sans modération.
Dans ce roman, Michel Bussi nous plonge au cœur de la duplicité. Encore une fois, il tisse une toile diabolique, avec une maîtrise folle.
Dès les premières pages, le suspense est là et ne nous quitte plus. L’envie d’en découvrir toujours plus nous fait dévorer les pages à grande vitesse.
Tout débute par un cadavre et trois identités différentes dont les photos semblent toutefois représenter la même personne. Un visage et une même date de naissance pour trois noms : Renaud Duval, Hans Bernard et Pierre Rousseau. Commence alors une enquête aux côtés de la femme de Renaud Duval qui se demande alors qui était réellement son mari. Si le cadavre s’avère bel et bien être Renaud Duval, alors qui sont Hans Bernard et Pierre Rousseau ? Duval menait-il une triple vie ?
Lorsque deux autres femmes entrent en scène, les secrets familiaux se bousculent.
Comme toujours avec Michel Bussi, l’histoire et surtout la géographie sont à l’honneur. Ici, l’action se déroule en France avec un pan bohémien tchécoslovaque. J’ai beaucoup aimé ce voyage au cours duquel les arts ont la part belle, et notamment celui de la marionnette. Il s’attarde également sur la légende ardennaise des Quatre Fils Aymon et assoit une bonne partie de son action à Bogny-sur-Meuse et la région de Charleville-Mézières. Il est toujours agréable et intéressant d’apprendre tout en se divertissant avec un roman.
L’écriture est, comme habituellement, fluide et addictive. Les personnages sont bien travaillés et l’action palpitante. Quand arrive l’heure des révélations, une partie de celles-ci m’a toutefois laissé dubitative. Je ne peux bien sûr pas développer davantage sous peine de spoiler, mais pour ma part, j’ai ressenti un manque de crédibilité, c’est pourquoi ma note ne dépasse finalement pas le 4/5. Malgré tout j’ai pu un peu passer outre et ceci ne m’a pas gâché ma lecture. Tout le reste du dénouement a tellement bien été amené et construit que je termine le dernier chapitre avec un sentiment positif. Cela reste tout de même un très bon moment littéraire au rythme du thriller.
En bref, mise à part un point peu crédible selon moi au cœur du dévoilement – et je peux comprendre que cela puisse déranger certains lecteurs ou certaines lectrices puisque cela reste tout de même un point central et majeur de l’histoire -, j’ai été complètement happée par cette fabuleuse histoire. Michel Bussi sait mener sa barque et c’est toujours avec grand plaisir que je m’immerge au sein de ses récits et que je me laisse prendre dans ses filets. À découvrir si vous aimez être surpris !
Sur mon blog : https://ducalmelucette.wordpress.com/2024/01/16/lecture-trois-vies-par-semaine-de-michel-bussi/
J'ai beaucoup apprécié ce roman de Michel Bussi alors que ses derniers romans m'avaient moins convaincue ces derniers temps. J'ai trouvé qu'il y avait ici beaucoup de suspense, impossible de deviner l'intrigue et l'histoire notamment de la jeune Mina est très émouvante. Le thème abordé des marionnettes est original et intéressant et les références à Arthur Rimbaud sympathiques aussi. Ce roman se lit avec plaisir, il m'a réconciliée avec l'auteur que j'avais découvert avec Nymphéas noirs.
Un bon polar .La capitaine Katel Marelle est appelée suite à la découverte d'un cadavre au bas d'un belvédère dans les Ardennes .A priori ,il pourrait s'agir d'un suicide puisqu'il n'y a pas de traces de lutte ,seulement la capitaine va découvrir que l'homme possédait trois identités différentes .La femme de la victime va bien identifier le corps mais assure ne pas connaître les deux autres identités ,effarée par la vie cachée de son mari. Et il faudra patienter jusqu'aux dernières pages pour découvrir la vérité
Comme toujours, Michel Bussi nous offre un polar plaisant, avec un intrigue alambiquée et prenante. C'est avec plaisir que l'on se laisse balader par l'auteur, de rebondissements en rebondissements, jusqu'à la révélation finale. Comme les marionnettes et les personnages, tous originaux et attachants, de l'intrigue, le lecteur est habilement manipulé, les indices étant progressivement distillés, levant tout doucement le rideau de l'intrigue, comme dans un tragique spectacle de marionnettes. Un très bon moment de lecture!
Tres beau roman avec suspens. Un livre qui nous tient en haleine jusqu au bout.
C'est sur les terres natales d'Arthur Rimbaud que s'ouvre le dernier roman du prolifique Michel Bussi. En contrebas d'une falaise des Ardennes est découvert un cadavre.
Dépêchée sur les lieux, la fantasque capitaine Katel Marelle prend en charge l'affaire. Le mort ayant ses papiers d'identité sur lui, l'enquête promet d'être simple. Sauf que les gendarmes découvrent deux autres permis de conduire avec la même photo et la même date de naissance. Seuls les patronymes et les lieux de naissance diffèrent : Renaud Duval, la dépouille « officielle », est né à Charleville-Mézières, Pierre Rousseau à Paris et Hans Bernard en Lozère.
Comment un même homme peut-il être être né le même jour dans trois endroits différents ? Telle est la question à laquelle va répondre « Trois vies par semaine » en invitant des marionnettes, objets inanimés auxquels des mains expertes insufflent la vie, véritable fil rouge du récit.
On sait que Michel Bussi a l'indéniable talent de rendre le lecteur addictif avec ses histoires extravagantes qu'il agrémente du fameux twist qui est sa marque de fabrique. Mais cette fois-ci, pour la première fois, j'ai trouvé la solution de l'énigme bien avant la fin, d'où une petite déception.
http://papivore.net/polar/critique-trois-vies-par-semaine-michel-bussi-presses-de-la-cite/
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