La revue de presse d’Abeline Majorel
La revue de presse d’Abeline Majorel
Les psychopathes sont au meilleur de leur forme et les maîtres du polar au meilleur de leur talent pour raconter leur folie. Une imagination à faire froid dans le dos, à réveiller les plus profondes angoisses et surtout à graver avec addiction ces histoires dans vos mémoires puisque chers lecteurs, vous vous jetez dessus avec frénésie ! Alors faites votre choix, le must du thriller vous attend !
Ophélie ,7 ans , a vu le corps de sa mère au bas d'une passerelle vraisemblablement tuée par son père qui ne se souvient de rien tellement il était alcoolisé .Et Ophélie a tout enregistré de cette journée pour un jour découvrir qui a tué sa mère et la venger .Elle est surtout très remontée contre un travailleur social que sa mère a appelé à plusieurs reprises ,persuadée que son mari allait la tuer et qui n'a rien fait pour l'aider .Un bon polar social
Neven, un aviateur "raté" passé à côté de sa passion, est sollicité par Oko, un mystérieux milliardaire Camerounais. Ce dernier lui propose de rejoindre Andie, stagiaire pour la compagnie Fox, dans son enquête autour de la mort de Saint-Exupéry et... du Petit Prince, rien que ça ! Ensemble, les deux apprenti.e.s détectives vont aller à la rencontre du Club 612 regroupant les personnes les plus admiratives du célèbre auteur-aviateur et de son oeuvre. Leur enquête les entraîne aux Etats-Unis, au Salvador, au Royaume-Unis et, évidemment, dans des déserts...
Je suis une inconditionnelle du Petit Prince. J'ai lu plus de 4 fois le conte philosophique d'Antoine de Saint-Exupéry ; sans jamais réussir à lire d'autres de ces écrits... Plus je lis Le Petit Prince, plus je suis émue, plus je pleure rapidement, surtout lorsque je le lis à haute voix (pour mes enfants)... Bref, c'est un de mes livres préférés, un de mes doudous, refuges littéraires, source d'émotion inépuisable... Ceci étant écrit, le décor étant posé, voici mon avis bourré d'a priori sur Code 612...
Je ne suis pas une inconditionnelle de Michel Bussi ; j'aime plus ou moins ses romans selon les thèmes et l'humeur du moment. J'avais eu un énorme coup de cœur pour Nymphéas noirs, et c'est ce qui m'a incitée à découvrir Code 612. Et je n'ai pas été déçue du voyage !
Michel Bussi réussit avec brio à échafauder une intrigue courte et captivante autour du Petit Prince et de son auteur. [Avec une fin un peu trop tirée par les cheveux à mont goût, je le concède...] Mais l'essentiel de son talent est mis au service de la véracité. En effet, l'auteur se base sur une foule de faits réels, de témoignages, de citations, de théories et de suppositions pour approfondir son sujet. Manifestement passionné par Le Petit Prince comme par Saint-Ex, Michel Bussi use de toute sa ferveur pour nous transporter avec lui et son Club 612 ! J'ai appris énormément de choses intéressantes en lisant ce roman !
Il met tous ses talents de conteur au service d'une oeuvre qui lui tient à cœur, et cela se sent, agréablement ! Une foule d'extraits du Petit Prince et de citations de Saint-Exupéry jalonne toute l'intrigue. Michel Bussi s'essaie presque à l'exercice de style en adaptant certaines scènes du conte à son roman ; en jouant avec les redondances, sens cachés et autres licences poétiques. Il m'a même semblé qu'il jouait avec les rythmes, les rimes, et la poésie pure dans la seconde partie du livre ! Beaucoup de citations et de situations m'ont rappelé l'oeuvre chérie (et même m'ont fait sourire !), répondant ainsi parfaitement à mon attente quant à l'omniprésence du Petit Prince dans l'ouvrage.
Au-delà de l'hommage, Michel Bussi nous propose une étude approfondie du texte et de la narration. Son analyse est documentée et sérieusement travaillée, malgré de nombreux aspects romancés autour du Club 612. L'auteur se fait aussi philosophe en proposant des réflexions intelligentes autour des thèmes abordés dans Le Petit Prince. Il nous offre ses pérégrinations de chercheur ex-géographe à travers ce qu'il maîtrise le mieux : un roman à enquête, en quête de réponses autour des disparitions d'un personnage fictif ô combien célèbre et d'un personnage célèbre ô combien contradictoire.
Des mystères, les tropiques françaises, une belle plume. Tout est réuni pour plaire ! Et quel auteur !!!
La Guadeloupe, des paysages magnifiques ... mais ... le théâtre d'une série de meurtres sans rapport apparent les uns avec les autres, trois touristes assassinés par un harpon de plongée, mise en scène identique, énigmes à résoudre au plus vite par le commandant Kancel, au risque de voir augmenter la liste des victimes. Du suspens, des rebondissements, un soupçon d'histoire d'amour, bref, du Bussi toujours agréable à lire, moment de détente assuré.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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