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En 1707, Charles Ancillon publia le très érudit Traité des eunuques. Comme il l'explique dans son Épître dédicatoire à M. Bayle, il écrit son Traité pour mettre en garde une femme contre la proposition de mariage d'un eunuque. Divisé en trois parties, l'ouvrage consacre la première à une phénoménologie de l'eunuchisme, passant en revue des personnages historiques et légendaires, allant de la Perse à l'Italie, de Sémiramis à Origène, de Sporus à Abélard entre autres. La deuxième partie est entièrement dédiée au problème juridique et moral du mariage des eunuques, visant à démontrer l'illégitimité du contrat de mariage avec un eunuque, le mariage étant finalisé exclusivement, selon Ancillon, à la procréation. Enfin, la troisième partie, qui porte toujours sur la question centrale du mariage des eunuques, consiste dans les objections qui pourraient être faites contre les thèses illustrées précédemment.
Paru en traduction anglaise à Londres en 1718, avec un supplément sur les chanteurs castrats, il a été réimprimé en 1978 par Ramsay sous la direction de Dominique Fernandez.
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