"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans les premières années du XIVe siècle, Jean de Saint-Victor entreprend la rédaction d'une chronique qu'il fait précéder d'une courte description des régions et des royaumes. Conduit à réviser ce travail et à lui donner l'envergure d'une histoire universelle depuis la création, désormais intitulée Memoriale historiarum, il développe l'introduction initiale en un véritable traité, fruit d'une réflexion longuement mûrie au contact des sources sollicitées pour l'élaboration de son premier texte. Il y expose, à l'aide de tous les exemples historiques qu'il a pu rassembler, ce qui lui apparaît comme l'une des lois fondamentales de l'histoire, la divisio regnorum : tels des organismes naturels, les royaumes, mais aussi les empires, naissent, vivent et meurent. Ainsi fait-il place à la pensée aristotélicienne dans une lecture traditionnellement augustinienne de l'histoire.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !