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Les opiacés figurent parmi les analgésiques les plus puissants pour le traitement des douleurs sévères. Les agonistes du DOR induisent moins d'effets secondaires que ceux du mu, ce qui les rend une cible d'intérêt. Cependant, ils induisent la tolérance à l'analgésie. Des hypothèses récentes proposent que le potentiel de tolérance soit la conséquence de différentes propriétés de signalisation et de trafic du récepteur en fonction du ligand qui lui est associé. Dans ce contexte nous avons déterminé si différents ligands du DOR différaient dans leur capacité à induire la signalisation et le trafic du récepteur. Nos résultats indiquent que DPDPE et SNC-80 sont les drogues les plus efficaces à inhiber la production d'AMPc, suivis par UFP-512, morphine et TIPP. DPDPE et SNC-80 induisent à eux seuls l'internalisation du DOR dans les cellules HEK-293 de façon dépendante de la -arrestine mais pas de la GRK2 ni PKC. Ces deux drogues induisent également l'internalisation du DOR dans les neurones corticaux et c'est seulement le DPDPE qui permet au DOR de recycler dans les deux types de cellules.Ceci indique que le DOR peut subir différentes régulations en fonction du ligand lui étant associé.
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