Le rôle des mycotoxines d'Aspergillus fumigatus sur l'épithélium respiratoire a été peu étudié. Pour ce faire, nous avons utilisé un modèle de culture primaire de cellules épithéliales nasales humaines (CENH) en interface air liquide et un autre à partir de cellules épithéliales de trachée de porc (CETP). Nos résultats montrent que contrairement à la phase aqueuse, la phase organique issue d'un filtrat de culture d'A. fumigatus mimait les effets des filtrats de culture totaux déjà décrits sur les CENH. De plus, seul le verruculogène isolé de la phase organique, reproduisait les mêmes effets sur les paramètres électrophysiologiques. Le verruculogène est une mycotoxine de la classe des trémorgènes produite par toutes les souches d'A. fumigatus et associée aux conidies. Par conséquent, son effet pourrait être immédiat sur le système respiratoire. D'autres part, le modèle de CETP développé était différencié, polarisé et similaire au modèle CENH face à A. fumigatus. Ce livre est destiné pour les étudiants, les chercheurs et les médecins.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
