L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
« J'aspire à la lumière, et, parfois, je l'atteins. » Tels sont les mots du grand metteur en scène Luc Bondy qui a l'art de créer un écho entre les lignes, que ce soit sur scène, au cinéma ou, plus souvent encore, en littérature.
Après son roman À ma fenêtre et son recueil de nouvelles Mes Dibbouks, Toronto nous donne à découvrir les talents poétiques de Luc Bondy. Au fil de poèmes, principalement composés en vers libres, se profile l'artiste toujours à l'affut d'une nouvelle histoire derrière ce qu'il observe, qu'il s'agisse d'un homme seul dans le jardin du Luxembourg ou d'une chanson dont il se rappelle. Sans oublier non plus l'inéluctable passage du temps et les effets de « l'âge [qui] ronge ses os ».
Les textes de ce recueil sont empreints d'un lyrisme qui tire sa force d'un amour et d'un désir jamais diminués.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique