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Cette exposition spectaculaire, réalisée à partir de deux des plus grandes collections d'art japonais newyorkaises, couvre un long espace de temps allant de la fin de la période Jomon (env. 1000-300 av. J.-C.) au siècle dernier. Elle explore la notion d'impermanence dans la culture japonaise au travers d'oeuvres d'art et d'objets de culte, ainsi que de la littérature et de la culture populaire, et montre comment ce concept conserve un rôle important dans le Japon contemporain. La première section - Retrieving Lost Worlds (« Récupérer des mondes perdus ») - est constituée essentiellement de sculptures, de poteries et d'amulettes remontant aux premières civilisations japonaises : les périodes Jomon, Yayoi et Kofun. Les vestiges rescapés de ces cultures archaïques nous rappellent que le temps efface les choses et leur encadrement, et que cette loi est inéluctable pour toutes les civilisations. Buddhism: Accepting Impermanence (« Bouddhisme : accepter l'impermanence ») examine la notion de transitoire dans le bouddhisme, religion profondément ancrée au Japon bien que provenant d'ailleurs. De magnifiques exemples d'art bouddhique illustrent l'idée que l'impermanence (mujo) est un pivot de la doctrine de toutes les écoles : l'existence est éphémère, caractérisée par la souffrance et, en dernière analyse, par le vide. Tea: Choreographed Ephemerality (« Le thé : l'éphémère choréographié ») analyse la cérémonie du thé, qui met en exergue les qualités de wabi et sabi, termes en lien avec les traits distinctifs de la vieillesse - une fleur fanée, la rouille sur le métal -, évoqués par des objets en céramique et en laque volontairement imparfaits et qui étaient utilisés lors des réunions contemplatives. La section finale du catalogue, Transforming Impermanence into Art (« Transformer l'impermanence en art ») consiste en une série de pièces diverses, des splendides exemples de calligraphie aux paravents, des célèbres estampes aux élégantes étoffes ornées de motifs en relation directe avec le concept japonais de mono no aware, « sensibilité délicate à la nature des choses ».
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