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Tous les peuples de cette planète terre aspirent tellement au changement. Ils se souhaitent de mener autrement leur vie de chaque jour. Mais, ce changement auquel ils se prévoient est un processus enveloppant un ensemble des défis à relever pour son aboutissement. Certes, il sollicite chaque personne dans la société à manifester les sentiments intrinsèques. Et, la volonté de faire pour et avec est le premier des tous, l'axe inéluctable et indispensable. Celle-ci est suivie des deux autres : l'appartenance à son territoire et l'éclaboussement de leadership. L'ensemble de ces sentiments induit, alors, chaque personne dans le travail du changement. Le travail qui commence par la réflexion sur la vie que mène tout un chacun dans son biotope. Qui plonge chaque personne dans l'action de sensibilisation de toutes les couches (sociales, politiques, économiques et culturelles). Et, infère chaque individu dans l'immersion de la mobilisation de toutes les structures (organisations) qui composent la société.
Cependant, les sociétés des humains, et plus particulièrement celles qui mènent leur vie dans les milieux ruraux des pays dits sous-développés, vivent habituellement dans l'ignorance. À l'égard du changement, elles possèdent des idées utopiques, non formelles et non systématisées. Ces sociétés ne savent pas de quel pied danser, lesquels des noeuds à dénouer en premier et lesquels autres à y déposer la touche finale. De cette optique, le changement devient un travail plus large et beaucoup laborieux. Et de ce contexte, le changement ne se représente pas comme un travail d'une seule personne au sein de la société. Il est, cependant, tout un processus qui émane directement de certains pouvoirs.
Le tout qui précède formule un apostrophe de l'auteur aux habitants de territoire de Fizi-Kalembelembe, dont il est originaire. Cette entité est circonscrite dans ce grand pays de la région du grand-Lac en Afrique centrale, la République Démocratique du Congo. Étant né dans cet environnement du monde rural, il est le fils d'un père chauffeur-mécanicien et d'une mère agricultrice. En 1988, il obtient son diplôme d'études secondaires à l'Institut Amani de Fizi, en section scientifique, option : Chimie Biologie. Dix ans plus tard et après avoir parcouru par-ci et par-là, il décroche son diplôme d'études universitaires à l'Institut Supérieur des Techniques Médicales de Bukavu. Juste après l'obtention de ce grade universitaire de trois ans, il fait un voyage inattendu. Eh oui, en dépit de ces exactions de la guerre d'agression et d'occupation que son pays natal (RDC) a pu connaître, il se réfugie dans le pays voisin de celui-ci, la République Unie de la Tanzanie. Deux ans durant, il met en jeu les connaissances acquises au profit de ses congénères dans le camp des réfugiés congolais de Nyarugusu entant qu'infirmier assistant et consultant. En 2000, il immigre au Canada, où il est installé dans la province de Québec. Passionné toujours des études, en 2005, il décroche son diplôme de baccalauréat à l'université Laval en Sciences Infirmières. Tout à coup, il tombe en amour avec le monde de la rédaction. En 2006, il publie son premier récit aux éditions Harmattan de Paris dans la collection mémoire : « Un civil dans la guerre en RDC, l'errance d'un réfugié congolais ». Celle-ci est sa deuxième publication après être séduit d'une longue réflexion portant sur le terme de changement appelé généralement développement.
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