L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
«Un volume de Radu Bata ressemble à un écrin dans lequel une jeune femme d'aujourd'hui garde, pêle-mêle, ses parures. Plastique et nacre, laiton mais aussi or, cordelettes et chaînettes enchevêtrées, un camée ou une bague de rockeuse avec une tête de mort, un bracelet à ligne pure mais aussi un pendentif kitsch, porté par non-conformisme et défi. Ou encore un petit chat rose en verre de Murano. Surtout, le poète étend une couche de vernis mélancolique qui atténue le clinquant, laissant scintiller seulement certains points de cette poignée de sonnantes breloques.» (Mircea Cartarescu) «Une collection enthousiasmante de petits poèmes pleins d'allégresse sur le temps qui passe, l'amour et les petites joies de l'existence. Les poésettes sont à peine plus longs que des bâtonnets de haïkus qu'on ne finit jamais de mâchonner pour succuler les sens cachés. Un recueil drolatique et malicieux, versé de plaisir jusqu'au pied ultime.» (Richard Gonzalez). Radu Bata a inventé les poésettes (poèmes sans prise de tête) pour réconcilier ses étudiants avec la poésie. Bien lui en a pris: le bouche-à-oreille et la reconnaissance - Le Prix du Salon du Livre des Balkans pour son premier recueil - ont fait le reste.
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