L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
" Je défendrai toujours l'oeuvre de Pasolini, la liberté de sa parole, l'inventivité de son esthétique cinématographique, le génie de sa poésie, la férocité de sa critique des tièdes, des veules, des conformistes, son courage, sa faculté d'exposition, sa curiosité, sa vitalité, sa vérité.
J'admirerai toujours ses films, ses poèmes, ses critiques, ses essais, ses romans, ses nouvelles. Je suis heureux d'avoir traduit l'une des plus grandes oeuvres littéraires du XXe siècle, Petrolio, et d'avoir tenté d'en analyser la structure. Je publie peut-être trop tôt un recueil de mes articles et conférences sur Pasolini. Puisque je ne crois pas à la fin des histoires d'amour. On ne cesse pas d'aimer.
Je ne cesse pas de lire Pasolini. Ce que j'écris est écrit dans cet amour-là qui a accompagné le premier texte que j'ai voulu publier. Mais ce n'est pas la fidélité douloureuse de la filiation. Non, ne jamais voir un père en Pasolini qui dédia son premier recueil frioulan à son père et en fut si mal aimé et l'aima si mal. On aime toujours mal un père. Je ne crois pas aimer mal Pasolini. " Sur Pier Paolo Pasolini (1922-1975) dont il a traduit de nombreux ouvrages, René de Ceccatty publie en même temps une biographie, Pasolini (" Folio biographies ", Gallimard) et un dialogue avec Maria Callas, dans Le Mot amour (Gallimard).
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