Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Nos enfants posent toujours les bonnes questions au mauvais moment : « On ne sait rien de ton enfance. » Ils ont raison, je n'ai jamais pris le temps de leur dire : « De mon temps, tu sais. » À seize ans, cette phrase de mes parents, de tous les parents, m'agaçait ; aussi ai-je pris le soin de ne jamais la prononcer à mes enfants.
La peur du ridicule. peut-être !
Il faut laisser du temps au temps, mais plus notre vie s'allonge, plus elle raccourcit !
Le questionnement, aujourd'hui de mes enfants, demain peut-être celui de mes petits-enfants, exige une remise en ordre de la résurgence anachronique des souvenirs qui, çà et là, affleurent les nuits d'insomnie.
Il me parut évident dès mon premier récit « Faut-il pleurer, faut-il en rire » que le journal par ses repères calendaires permettait à un demi-siècle d'écart, l'évocation des souvenirs et la chronique relevant parfois de la sottie, d'une actualité qui est aussi celle de mes enfants et petits-enfants.
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Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force