"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Alger, 1956. Mathieu Cayrol, jeune sergent rappelé, libère une militante algérienne de la torture. Il l'aide à s'enfuir et se cache avec elle dans une chambre d'hôtel.
Algérie, 1956, encore. Quelques hommes sont envoyés dans un lieu-dit perdu où ne vivent plus que des femmes, des enfants, des vieillards. En attendant un saint-cyrien chargé de leur commandement, leur vie s'organise entre les expéditions de surveillance, les comptes rendus à l'administration et une école improvisée pour les Arabes.
Avant d'être le témoignage d'un "ancien" sur des événements dont l'écho n'a pas fini de nous rejoindre, ces textes se situent d'emblée au niveau des grandes oeuvres qui se sont inscrites dans la durée, parce qu'elles avaient transcendé l'actualité. Dans une prose humble mais vive, Jean Debernard déroule en effet ses récits d'un rythme tranquille, dans le silence comme dans les tumultes, pour mettre en lumière l'inquiétante ambivalence de l'homme.
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