L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Altissime : ce qui est très haut, très noble. Tout a été dit, ou presque, concernant la philosophe Simone Weil (1909-1943) : hystérique, masochiste, anorexique, emmerdeuse, pétroleuse, donneuse de leçon, extatique, sale, exaltée, garçonne, juive, antisémite, anarcho-syndicaliste, . Un florilège, sous bénéfice d'inventaire. Autant de contrastes, d'antinomies voire de contradictions qui signalent, non un déficit logique ou une part d'incohérence, non les moments d'une contradiction dépassable, mais les tensions d'une pensée qui s'éprouve dans le balancement, dans l'oscillation. Sa fascination pour la pensée chinoise - le taoïsme en particulier - trouve peut-être ici l'un de ses points d'ancrage.
En Simone Weil se trouve conjoint ce que notre histoire intellectuelle s'est trop souvent plue à disjoindre : l'impatience prophétique et la patience du concept.
En une petite centaine de pages, le philosophe François L'Yvonnet éclaire l'oeuvre de Simone Weil avec des facettes emblématiques de sa biographie : une cartographie des lieux et des influences, la question du déracinement, son rapport à la judaïté.
En annexe, une bibliographie raisonnée pour mieux accéder au « monde d'idées » de Simone Weil.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique