"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
C'est par le Transsibérien que Géraldine Dunbar a choisi de découvrir la Russie. A bord du " train des trains ", dans les gares et les villes où elle fait étape, la jeune voyageuse croise des gens d'horizons divers : cheminots, artistes, vendeurs ambulants, étudiants, militaires, chasseurs et pêcheurs, vétérans, anciens déportés ou nouveaux riches. Ces rencontres lui permettent de mieux comprendre la société russe, où coexistent deux générations : l'une nostalgique de l'époque soviétique et l'autre plus tournée vers l'Occident. Après 10000 kilomètres à travers la steppe et la taïga, de l'Oural à l'Amour en passant par les rives du lac Baïkal, l'auteur atteint l'océan Pacifique. Quatre mois d'enchantement, à goûter les zakouskis et le charme des conversations, à contempler l'infini des paysages, à visiter les villes de Sibérie et à vivre au rythme des chefs de wagon pour, enfin, faire siens les mots de Tolstoï : " Est seul vivant celui qui aime. "
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !