"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le très médiatique évêque Onésime Goyat a été retrouvé assassiné, au garrot, sur une place publique de la bonne ville bretonne de Guerlesquin.
Voyez d'ici le tintouin dans le canton. L'enquête est confiée à Jules Bellec, adjudant de gendarmerie et socialiste, qui se fera aider par sa maîtresse, Maryvonne Le Brinsec, institutrice gaulliste qui marche au chouchenn. Et là, on croise des indépendantistes bretons, un curé façon intégriste, un corbeau, un vagabond qui publie, des piliers de pub et quelques farceurs. Qui est donc le coupable ? L'auteur le sait-il lui-même ? Ce roman n'est pas un roman à clefs mais pour le moins à trousseau.
On y retrouve le ton et les humours du Pouchèle de l'Etoile et le Vagabond ou de Deux Vagabonds en Irlande. Parfois noir, parfois tendre, toujours décalé, le tout pimenté d'une bonne dose d'impertinence - voire d'inconscience - voilà le ton de Samedi, l'évêque a raté le bus...
Un polar plein d'humour.
L'adjudant Belloc se voit ,par défaut,confier l'enquête sur le meurtre d'un évêque survenu à Guerlesquin,petite commune bretonne.A quelques mois de la retraite alors qu'il était placardisé pour ses opinions politiques ,Belloc reprend du service pour retrouver le coupable.
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