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Au cinéma et dans les séries télé, on appelle ça un cold case : il s'agit d'une enquête qui n'est ni résolue, ni définitivement classée.
Le 3 octobre 1980, une bombe d'une très forte puissance explosait devant la synagogue de la rue Copernic à Paris. Quatre personnes furent tuées, des dizaines d'autres blessées. Cet attentat antisémite a suscité une émotion considérable. Pour la première fois en France depuis la fin de la seconde guerre mondiale, des personnes étaient tuées dans un attentat visant la communauté juive. Dans toutes les villes de France, des manifestations de solidarités furent organisées, jurant que la « bête immonde » du néo-nazisme n'aurait pas le dernier mot.
Après quarante ans d'enquêtes, les juges français et en particulier le juge Trévidic sont parvenus à identifier le très probable commanditaire et acteur principal. Il se nomme Hassan Diab et militait à l'époque dans un mouvement palestinien radical, le FPLP -OS.
Pourquoi, plus de quarante ans après l'attentat, l'affaire n'est toujours pas jugée alors que le nom d'Hassan Diab est apparu dans la procédure dès les années 2000 ? Comment expliquer un tel manque d'empressement et de tels errements dans l'une des plus graves affaires de terrorisme que la France a connue ? C'est l'ambition de ce livre.
Clément Weill-Raynal est journaliste, spécialiste des affaires judiciaires. Il est l'auteur d'un document remarqué, Le fusillé du mur des cons.
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