A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
Le mot " espace ", même simplement pris dans son acception concrète, suscite une rêverie qui, presque d'emblée, se porte aux confins du matériel et de l'immatériel, de l'immédiatement sensible et de l'indicible, voire de l'inconcevable pour l'esprit humain.
Clos, l'espace semble tronqué, dénaturé. L'espace " vrai ", ce serait donc l'espace libre, " les grands espaces " selon l'expression chère aux modernes " soifiers d'idéal ". A ce titre, la mer peut apparaître comme l'espace par excellence, étendue à perte de vue comme le désert, mais aussi profonde comme le ciel et d'ailleurs intimement liée à lui dans la solitude du large et la fusion toujours reportée de la ligne d'horizon.
Or si l'on s'attarde à la concevoir ainsi, le vertige, fascination et peur mêlées, ne tarde pas à poindre, celui-là même qui nous étreignait au moment où l'appréhension concrète de l'espace basculait dans la contemplation de l'illimité. De fait, si l'on en croit la bibliographie récente où prolifèrent les colloques sur l'insularité tandis que la mer semble oubliée, il faut quelque audace pour affronter le grand large.
Tenter de relever ce défi devait revenir à l'Université d'une ville dont la devise est Neptunus eunti favet...
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste