Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
« Il faut lutter contre sa propre usure - être patiné plutôt que ridé - mais l'usure du temps est inexorable. » À l'instar de Fontenelle qui recommandait de ne pas prendre la vie trop au sérieux, James P. Spyder utilise l'humour et la légèreté pour aborder et apprivoiser la Mort. Fasciné par les belles automobiles, James Dean et la vitesse, il jette ses pensées dans son ouvrage sous forme de journal intime, qui devient le réceptacle de ses réflexions quasi quotidiennes.
Irrigué par la réconfortante philosophie spinozienne, ses propos sont loin d'être moroses, et abordent même avec un certain optimisme des thèmes qui, a priori, ne s'y prêtent guère : la vie, sa durée, sa fin, le destin et le temps qui passe. Véritable vanité moderne, l'auteur troque le crâne et le sablier contre une Porsche 550 Spyder et rêve son Memento mori au soleil, sur la route de Salinas.
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