Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Il ne serait pas faux d'affirmer que toute la philosophie quinéenne de l'identité est aux antipodes du point de vue wittgensteinien. L'attitude de Wittgenstein est comprise par Quine dans les termes d'une déplorable méprise. Pour Quine, nous pouvons justifier l'usage de l'identité dans notre discours en montrant comment les seules affirmations d'identité, qui peuvent être vraies sans pour autant être stériles, sont, selon les propres termes de Quine dans Le Mot et la Chose, «celles qui contiennent des termes singuliers différents mais qui se référent à une même chose.» Pour Quine, l'identité, exprimée par le signe « = », est un terme relationnel qui relie des occurrences distinctes de termes singuliers afin de former un énoncé. L'énoncé d'identité obtenu est dit vrai si et seulement si ses composants renvoient au même objet. L'identité est intiment liée ici à la division de la référence, c'est-à-dire à l'acquisition des termes généraux. Elle ne peut fonctionner qu'une fois que ces termes qui divisent leurs références ont été acquis. La distinction entre termes singuliers et ceux généraux est décisive dans la sémantique behavioriste et l'épistémologie naturaliste de Quine.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force