Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Quand peut-on dire de sa vie qu'elle est accomplie ? François Galichet met en balance deux représentations de la vie. On peut la tenir pour un bien absolu à préserver à tout prix. On peut aussi l'envisager à la manière du peintre ou de l'écrivain, comme une oeuvre dont on est l'auteur, que l'on peut façonner dans la mesure où l'on est maître de soi.
Ce livre est une méditation sur ce thème. Il naît d'un paradoxe : dans nos sociétés, la vie est devenue la valeur suprême, la plus sacrée, et en même temps certains - beaucoup - souhaitent pouvoir en sortir quand ils considèrent qu'elle est accomplie, que la prolonger la dégrade.
D'où ces questions, qui nous concernent tous : qu'est-ce qu'une vie digne et digne d'être vécue ? Quel sens lui donnons-nous ? Qu'est-ce qui fait sa qualité et son intensité ? Voudrions-nous être immortels ?
L'auteur recueille le témoignage de personnes disposant d'un moyen de mourir volontairement de façon douce. En examinant le prix que nous accordons à la vie et la définition de ce qu'est une vie digne d'être vécue, il nous invite avec délicatesse à une réflexion sur la vie, sur la mort et sur l'exercice de la liberté.
Un livre clair et lumineux sur la joie de vivre en disposant de soi.
J ai assister à une conférence sur se thème très intéressant, maintenant je vais découvrir son livre avec plaisir pour approfondir la vie
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