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C'est la première pièce de Synge, mais elle n'a été publiée qu'en 1954, et sans doute n'a-t-elle jamais été jouée. L'argument, une jeune et jolie religieuse quittant son habit pour le neveu de l'homme dont elle vient de veiller la dépouille, y est pour quelque chose ; on pense évidemment à l'émeute soulevée pour moins que cela par la première du Baladin du monde occidental. Dans des répliques fulgurantes, culminant en tirades lyriques et en poème symphonique, on devine ce que seraient un jour la langue et le théâtre de ce poète : d'une intense spiritualité mêlée d'un scepticisme lyrique désespéré, d'une poésie vivante coupée d'un humour dévastateur, surgi des situations les plus solennelles ou tragiques comme chez Shakespeare, comme dans la vie.
Avec cette pièce, Fouad El-Etr achève de traduire, dans une langue à la fois poétique et familière, et de même amplitude, le théâtre de Synge, dans la variété mélodique de tant de personnages et de pièces, des tournures gaéliques, dont il recrée la charge de fraîcheur, au tragique le plus acéré des tragédies antiques.
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