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De la limace à l'Être humain, la violence, action de tout Être vivant pénalisant les intérêts et les intégrités (physique et/ou psychologique) d'un autre, est le principal canal par lequel tous les Êtres vivants garantissent leur conservation (survie et bien-être). La violence est donc indissociable de la survie.
La principale instance régissant la violence est la dynamique de l'inconscient. Et le meilleur instrument d'estimation du potentiel de violence chez les Êtres vivants est leurs conditions de Base respectives. Plus la condition de Base d'une espèce vivante est précaire et vulnérable, plus cette espèce est dotée d'un potentiel de violence élevé. Dès lors, les estimations montrent que c'est l'Être humain qui détient le plus haut potentiel de violence. En effet, sa condition de Base est, de très loin, la plus précaire et la plus vulnérable. A travers cette extrême précarité, il est même capable d'exercer ce qui est communément appelé "la violence gratuite", voire les pires atrocités.
Malgré la puissance de son esprit capable de produire en quantité et en qualité des Biens & Services, nous montrons comment la motivation par le désir entretient, voire exacerbe la violence dans les sociétés modernes. En effet, en toute circonstance, le désir sera toujours supérieur aux ressources ou aux revenus. Car il est « insatiable ».
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