Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
L'économie mondiale est dans une impasse. Sur production d'un côté, misère et famine de l'autre. Et la. plaie du chômage ne cesse de s'étendre. Les systèmes économiques classiques sont impuissants.Il faut sortir de la logique du profit maximum pour se plonger dans une autre logique : celle du don réciproque, du partage et de la solidarité mondiale. Au slogan « ceci est à moi pour moi » ne faut-il pas substituer un nouvel idéal : « ceci est à moi pour nous » ?C'est la logique de l'évangile, vraie vocation de l'homme. Des États et des associations oeuvrent pour les secours, l'entraide et la coopération dans le développement. Le mouvement ouvrier et beaucoup d'associations humanitaires luttent pour la justice et la défense des droits fondamentaux.Dans cet immense effort des hommes pour un avenir solidaire, une expression nouvelle circule comme une bonne nouvelle : « l'économie de communion ». écoutons Chiera Lubich : « Sous la poussée de la communion des biens, il devrait naître ,des industries, des entreprises... Ces entreprises de toutes sortes devraient être comme des associations où chacun ait la possibilité de participer... La gestion devrait en être confiée à des éléments compétents, capables de les faire fonctionner avec efficacité et d'en retirer des bénéfices. Et c'est là que réside la nouveauté : cesbénéfices devraient être mis en commun. Il naîtra ainsi une économie de communion. »Le principe évangélique de mise en commun des biens pénètre dans la logique de l'entreprise. Cinq experts des Focolari nous expliquent comment.
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