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En plus de sa version du Faust, dont Goethe lui avait écrit : « Je ne me suis jamais mieux compris qu'en vous lisant », Nerval avait traduit en prose, dans une prose plus proche de l'esprit que de la lettre de leurs vers, quelques-uns des poèmes du maître de Weimar. Il recréait, avec autant de curiosité que d'admiration, ces chefs-d'oeuvre de poésie objective que Goethe, par une maîtrise de l'inspiration sur elle-même puisée chez Pindare, maintenait à distance. « Goethe se sert pleinement des formes grecques pour l'expression, écrit Nerval, et n'admet qu'une charpente plastique pour le chant lyrique. Ses poésies diverses sont autant de statuettes, des arabesques, des portraits, des bas-reliefs existant en eux-mêmes, dans une forme absolue tout à fait séparée du poète. »
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