"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans ce Traité 21 - IV, 1) , Plotin montre comment l'indivisibilité de l'âme perdure en ce monde, jusque dans les corps. Paradoxalement, la nature de l'âme est à la fois divisible et indivisible, selon le passage énigmatique du divin Platon ( Timée , 35 a) que Plotin a déjà commencé d'expliquer dans le Traité 4 : À partir de la substance indivise et toujours selon le même et de la substance divisible née alentour des corps il [le démiurge] forma en mélange des deux une troisième forme de substance. Comment l'âme est-elle aussi indivisible ? Le lien, non rompu, de l'âme avec son lieu d'origine, ou plutôt, avec son origine, est fortement affirmé. L'âme reste indivisible par ce lien, parce qu'elle ne descend pas tout entière dans le monde sensible. Cela lui permet d'agir en contemplant. Ce très bref traité apparaît au lecteur de Plotin à la fois même et autre, comme second volet d'un diptyque commencé dans le Traité 4 . La symétrie vise à élever son regard au-delà de ces deux volets.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !